Salut mes petits agneaux !
Nous approchons d’Halloween et quoi de mieux pour marquer le coup qu’un jeu qui va reprendre tous les codes du roman de Lovecraft, et du mythe du plus tentaculaire des Grands Anciens, Cthulhu ? Et bien je ne sais pas si nous verrons ce dernier, mais en tout cas, nul doute qu’en Alaska dans les années 70, il se tramait des choses pas nettes !
Vous jouez le rôle de Carter, et ce dernier se trouve non seulement bloqué avec un de ses collègues, dans les montagnes, en proies à des soucis d’ordre météo, mais aussi, et surtout à une brêche de confinement que les pro de la SCP ne renieraient sans aucun doute pas.
Plein de monstres, et d’autres soucis arriveront, faisant monter la jauge de Stress et de folie de votre pauvre Carter, qui risque simplement d’y passer à terme ! Chaque choix que vous aurez à faire aura son importance, parfois changeant littéralement l’issue de la suite du jeu.
Arriverez-vous à sauver tout le monde, ou y aurait-il des dommages collatéraux ? Dans tous les cas vous aurez à survivre dans ces lieux cruels. Le jeu se démarque par deux phases très différentes, l’une au camp, où vous devrez crafter, mais aussi allouer des ressources, améliorer, voire même réparer des citernes ou de la production de nourriture
Et la seconde phase, qui usera vos nerfs comme la corde d’un pendue qui oscille, où la moindre rencontre avec une abomination fera fondre votre santé mentale comme du beurre en pleine canicule. Mais chaque trauma débloqué pourra vous être utile, alors peut être faudra t il les prendre en compte ?
Dans tous les cas, ce jeu est d’une difficulté bien marquée, parfois frisant le die and retry pour mieux se préparer à toute l’horreur qui s’y trouve. Les graphismes sont en dessins collant bien au théme, et même si la bande son sature parfois, le doublage est investi, et les monstres sont bien dans la même veine que ceux de la cité engloutie.
Laissez sa chance à ce jeu, vous n’en reviendrez pas… ou peut être que si… ?
C’était Ookamiette,
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